Biiru | Un nouveau bistro japonais prometteur au Centre-ville

biiru restaurant montreal

Une  vague nipponne déferle depuis quelque temps sur le grand Montréal. En témoignent, la pandémie de nouveaux bistros japonais tels que Kazu (bon, pas si nouveau), Imadake, Misoya, Izakaya Iwashi (ex-Café Sardine) et un engouement grandissant pour les ramen.

Biiru restaurant montreal

Photo : Biiru

Le petit dernier s’appelle Biiru (« bière » en japonais). Dissimulé dans l’ombre de l’Église St-James, à quelques pas de la rue Ste-Catherine, ce nouvel izakaya démarre sous de bons auspices. Disons-le, c’est toujours un réel plaisir de voir apparaître de nouveaux joueurs dans ce secteur, jadis plutôt glauque, qui compte maintenant le Furco et le Café Parvis. Continuer la lecture

Jiro Dreams of Sushi | Un film qui donne l’eau à la bouche

J’ai très très hâte de voir ce film… en espérant qu’il sorte en salle sur nos écrans. Le film raconte l’histoire de Jiro Ono, 85 ans, considéré par plusieurs comme étant le plus grand Chef de sushis au monde. Il est le propriétaire de Sukiyabashi Jiro, un petit restaurant de 10 places situé dans une station de métro de Tokyo qui n’offre que des sushis.

Malgré ses modestes apparences, l’établissement est le premier de la sorte à avoir été honoré de 3 étoiles Michelin et des foodies du monde entier réservent leur tabouret, des mois à l’avance, pour avoir la chance de goûter à ces merveilleuses perles.

Pour la majeure partie de sa vie, Jiro n’a cessé de peaufiner son art du sushis. Néanmoins, malgré son âge vénérable, il n’a pas encore le sentiment d’avoir atteint la perfection. Du matin au soir, il goûte chaque morceau de poisson; entraîne méticuleusement ses employés; assemble soigneusement chaque création.

Le film explore également la relation qu’il entretient avec son fils aîné qui n’arrive pas à sortir de l’ombre de son célèbre père.

Une méditation profonde et élégante sur le travail, la famille et l’art de la perfection. N’est-ce pas magnifique? Sushi Shop peut bien aller se coucher…

Merci à Sophie Durocher pour le tuyau.