La géométrie des pâtes

La forme parfaite + la sauce parfaite = The Geometry of Pasta

L’art de cuisiner des pâtes parfaites dépend autant du choix de la meilleure forme que de la sauce, sans oublier la cuisson.

Chaque pâte alimentaire a un rôle subtilement différent à jouer.

Ce livre magnifiquement illustré vous montrera comment développer un instinct pour faire correspondre les bonnes pâtes à la bonne sauce, afin d’en maximiser le goût, la texture et faire de vous un maître de la nouille.

(via Lake Jane)

Recette | Prodigieux pesto au romarin et basilic

Depuis que j’ai découvert cette recette de pesto sur le merveilleux blogue Lake Jane, je ne jure que par celle-ci. Ça me prend au milieu de l’après-midi, le matin, la nuit, j’ai des envies subites de pesto. J’ai promis à mon professeur d’anglais de publier une recette sur mon blogue qui prenait moins de 5 minutes. Here it is, Diane! J’ai apporté quelques légères modifications à la recette originale que voici:

INGRÉDIENTS

2 paquets de basilic frais
1 branche de romarin (enlever toutes les petites feuilles et jeter la tige)
1 grosse poignée de persil plat
3 gousses d’ail
Le jus et le zeste d’un demi citron
1 c. à thé de gros sel
1/4 tasse d’huile d’olive
1/2  c. à thé de vinaigre de vin blanc
1/2 tasse de noix de pin
1 boîte de haricots blancs, rincés et égouttés
Un paquet de pâtes alimentaires de bonne qualité (je préfère les spaghettini)
Parmesan fraîchement râpé pour garnir

1. Alors que les pâtes cuisent, préparer votre pesto. Dans un robot culinaire, mettre tous les ingrédients – à l’exception du parmesan et des haricots blancs. Broyer jusqu’à consistance lisse et homogène. Si le pesto est trop épais, ajouter un peu d’huile d’olive.

2. Une fois les pâtes al dente, les égoutter et les remettre dans la casserole. Ajoutez à cela les haricots, le pesto, le parmesan et mélanger. Râpez du parmesan sur les pâtes avant de servir avec un peu de poivre moulu.

Le chien fumant | Un bistro de quartier plus que charmant

Depuis les premiers balbutiements du Chien fumant, il y a environ un an, j’ai suivi les travaux, avec le sentiment que ce petit restaurant de quartier allait avoir beaucoup de classe. Un premier coup de coeur pour la façade à grandes fenêtres carrelées qui s’intègre  merveilleusement au voisinage et qui occupe les coins de rue Lanaudière et Gilford, non loin du populaire Quartier général (patience, chers lecteurs, un jour, je réussirai à avoir réservation). Un deuxième, pour l’accueil débordant de gentillesse et la chaleur élégante des lieux. La salle à manger, d’une convivialité sans pareille, revêt des allures de pub anglais, à la façon Sparrow, habillée de vieux planchers et tables en bois, tapisserie provençale, moulures et ardoises pour afficher les menus. Elle s’étend le long du bar, entourant la cuisines ouverte aux regards du curieux.

À la barre, trois chefs créatifs dans la mi-vingtaine (dont un ex-chef du restaurant Joe Beef), dont la cuisine aux accents british, ressemble à la cuisine décontractée du Sparrow, avec la qualité des viandes de la Kitchen Galerie. On dénote aussi des influences venant des quatre coins du monde: Asie, Italie, française et polonaise pour en nommer quelques unes.

Pour débuter, laissez-vous inspirer par la carte des cocktails. Je vous suggère le French 79, fait de proseco et de zestes de citrons. Un plaisir sans nom que j’aurai renouvelé minimum 3 fois. Malgré mon passé de cavalière, j’ai commandé le tournedos de cheval avec osso-bucco. À la première bouchée, ma culpabilité équestre s’est immédiatement sublimée. Une viande aussi douce que la soie, tandis que l’osso-bucco, donnait l’impression d’avoir sur la langue, un nuage vaporeux. Toutefois, l’assiette de calmars frits, prise en entrée, avait la taille d’un plat principal, ainsi que le raffinement d’un casse-croûte. Néanmoins, j’ai bien apprécié.

Afin de compléter le topo, je suis retournée au Chien fumant le lendemain pour essayer le brunch cette fois. Il faut bien rattraper le temps perdu ;). De la carte des brunchs émane une audace ludique, ainsi qu’une originalité rafraîchissante, tout en ayant aussi des plats plus classiques, tels le fameux 2 oeufs, bacon, saucisse, jambon, rôtis.

Voici le sublime saumon fumé dans la cour arrière du Chien Fumant, sur une crêpe aux échalotes, crème fraîche, radis marinés et oeuf poché. Un pur délice.

Je vous présente le sandwich porchetta de testa servi avec « black eyed peas » et un oeuf miroir. Une combinaison intéressante, mais malheureusement trop salée.

Et le premier prix, décerné au porc braisé (pulled pork) épicé, avec oignons marinés et un oeuf miroir, servis sur une gaufre faite maison. Encore légèrement salé, mais incroyablement savoureux et original. Un petit chef d’oeuvre fondant qui débute bien la matinée.

On pourrait parfois penser que Le chien fumant manque un peu de raffinement, mais il faut voir la cuisine comme étant décontractée et sans prétention. Or, l’audace, l’inventivité et le plaisir qu’ont les chefs à nous faire découvrir de nouvelles combinaison nous font oublier ces quelques imperfections.

Le soir, comptez 40$ par personne pour un plat principal. Environ 20$, pour le brunch. Les cuisines ferment tous les soirs à 2h du matin (chic!)

LE CHIEN FUMANT
4710, rue De Lanaudière (angle Gilford)
Montréal
514 524-2444

*Réservations recommandées

Du mardi au dimanche de 18h à 2h
Brunch le dimanche de 10h à 14h

Source photo 1 et 2: site web du Chien fumant

Le Chien Fumant on Urbanspoon

Une envie folle de tarte au citron

(c) Christelle is flabbergasting

(c) Christelle is flabbergasting

(c) Christelle is flabbergasting

(c) Christelle is flabbergasting

Pour la recette de la tarte au citron meringuée, voir le magnifique blogue de Christelle is flabbergasting

Les conseils de La Bouche pleine

La recette est excellente. Un parfait équilibre entre l’acidité du citron et le sucré. Pour un plaisir optimal, j’aurai bien aimé un peu plus de meringue et légèrement moins de jus de citron pour la garniture.Ci-dessous, les ajustements apportés à la recette originale:

Pour la crème au citron:
Utiliser le jus de deux gros citrons. Avec la cuisson, la crème a tendance à s’acidifier.

Pour la meringue:
Nous avons employé une méthode plus simple et ajouté un blanc d’oeuf. Dans un grand bol, ajouter les 3 blancs d’oeuf. À l’aide d’un batteur électrique, montez les blancs en neige en ajoutant graduellement le sucre en poudre. 1/2 tasse de sucre en poudre a été suffisant pour nous, mais vous pouvez ajouter le sucre au goût. Lorsque les blancs forment des pics enneigés, la meringue est prête. Avant d’étendre la meringue sur la tarte, il est important que celle-ci ait refroidi durant 2h au frigo.