Après 15 heures de routes dans le corps et 5 Tim Hortons, nous somme finalement arrivés à Chicago, victorieux, après avoir voyagé au bout de la nuit comme de vieux beatniks finis.
La ville d’Al Capone nous est apparue tel un mirage étincelant sous le soleil du midi.
Entre l’océan du Michigan s’étendant à perte de vue, longé par ses plages dorées, et le ruban de gratte-ciels mythiques découpant l’horizon, les yeux cernés se sont éblouis.
Une réponse à La bouche pleine à Chicago